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Vaccins contre le COVID-19 : l’UE effectue une étude sur les éventuels nouveaux effets secondaires

temps de lecture: 2 minutes

Mercredi, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a déclaré qu’elle effectuait des études concernant trois affectations pour déterminer si elles peuvent être des effets secondaires causés par les vaccins contre le COVID-19 mis au point Pfizer et Moderna après avoir constaté quelques cas.

Possibilité de nouveaux effets secondaires des vaccins anti-COVID-19

A titre de rappel, c’est l’EMA qui a autorisé l’administration des vaccins aux citoyens des pays de l’Europe dont la France. Non seulement, les vaccins sont des préventions contre les formes graves du coronavirus, mais des données scientifiques ont également permis de constater qu’ils diminuent la transmission du virus et évitent la circulation de nouveaux variants. Le 27 décembre 2020, le premier vaccin à avoir été approuvé et le plus administré sur le territoire français est celui de Pfizer. Il a ensuite été suivi par celui de Moderna, de Johnson&Johnson et d’AstraZeneca.

Le mois dernier, l’agence européenne aurait identifié un éventuel lien entre les vaccins qui utilisent la technologie de l’ARN messager, notamment ceux de Moderna et Pfizer, et des cas très rares d’inflammation du muscle cardiaque. Tout comme l’OMS ou l’Organisation mondiale de la Santé, elle ne cesse de préciser que les risques que ces vaccins peuvent créer ne nuiront pas aux avantages sanitaires qu’ils apportent.

Source : lci.fr

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Mercredi aucune précision n’a encore été donnée par l’agence européenne concernant le nombre de cas auquel la nouvelle étude se rapporte. Ceci dit, pour effectuer une étude sur le lien possible entre les affections, l’EMA a dit avoir sollicité des données complémentaires à Moderna et Pfizer.

Cependant, après des demandes de commentaires de la part de Reuters, Moderna et Pfizer n’ont pas, dans l’immédiat, émis une réponse.

Trois affections qui font l’objet d’une étude

Une forme de réaction allergique cutanée, l’érythème polymorphe, le syndrome néphrotique, ainsi que la glomérulonéphrite, qui, l’un comme l’autre concerne les reins sont alors au cœur de l’étude du comité de sécurité de l’Agence européenne des médicaments.

L’érythème polymorphe apparait sous forme de taches cutanées rouges, qui sont remontées avec un aspect concentrique.

La glomérulonéphrite est un trouble qui touche des éléments situés dans les reins, nommés les glomérules. Ce sont des pelotes de microscopiques vaisseaux sanguins qui servent de filtre au sang.

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Quant au syndrome néphrotique, il touche également les reins et se distingue par un gonflement, une hypertension artérielle, un œdème au niveau des tissus corporels ou encore la présence de globules rouges dans l’urine.

 

 

 

 

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