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L’acquisition d’Arm par Nvidia suscite des inquiétudes

L’acquisition d’Arm par Nvidia suscite des inquiétudes

Ce jeudi 19 août, le cofondateur et CEO de Nvidia, Jensen Huang annonce dans son interview attribuer au Financial Times que l’acquisition de la société Arm suscite une inquiétude d’aboutissement. Le délai pour leur union est de 18 mois et est prévu pour ce mois de mars 2022. 

L’étude minutieuse des régulateurs

Aux États-Unis, Royaume-Uni et en Chine, les régulateurs n’arrêtent pas d’examiner l’impact causé par la couverture de l’acquisition d’Arm par Nvidia, selon la société Nvidia, due au manque du temps, l’acquisition pourrait ne pas être finalisée. 

Jensen Huang a déclaré également que « les contrôleurs prennent plus de temps que prévu ». Il a aussi précisé que, « leur conversation traîne plus longtemps que prévu et le calendrier sera retardé ». Cependant, le dirigeant s’est voulu rassuré et a souligné : « être convaincu que les régulateurs réalisent les bénéfices de cette acquisition ».

Nvidia a confirmé avoir conclu un accord pour acquérir Softbank et Arm en septembre 2020. Après des semaines de rumeurs. Cet accord permettra aux éditeurs de puces américains de confirmer les achats envers les régulateurs jusqu’en 2022 d’une valeur de 40 milliards de dollars, dont 21,5 milliards de dollars seront payés pour les actions Nvidia et 12 milliards de dollars en espèces. 

La crainte du rachat

Jensen Huang a déclaré qu’il « veut » obtenir le feu vert des régulateurs à la date fixée par les deux sociétés. Les régulateurs redoutent que l’acquisition n’ait un impact négatif sur la concurrence, et les sociétés technologiques craignent que les entreprises américaines ne resserrent leur emprise sur la technologie nucléaire britannique qui est actuellement déployée dans tous les processeurs mobiles du marché. 

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Actuellement au Royaume-Uni, pour des mesures de sécurité nationale, les gouvernements font des études pour les accords. Cependant les politiciens affirment également que la prise de contrôle est un coup dur pour l’industrie technologique du Royaume-Uni et sa souveraineté sur la scène mondiale. En Chine, c’est la société Huawei qui a recouru aux autorités nationales de la concurrence pour exprimer son inquiétude.

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En fin de compte, chez Qualcomm aux États-Unis, les entreprises Microsoft et Google ont fait part de leurs tracas à la Federal Trade Commission. Nvidia était confiant, mais Qualcomm a annulé son acquisition avec NXP en 2018, car Qualcomm n’a pas été approuvé dans les 18 mois suivant le financement des deux sociétés en raison d’un examen des lois antitrust en Chine.

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