En améliorant tranquillement dans un environnement souvent convenable à l’actif risqué, les bourses européennes ont commencé le lundi le mois de mai. Le CAC 40 Parisiens a entouré en augmentation de 0,61 % à 6.307,9 parties et pour le Dax Allemand, il a retenu 0,66%. L’indication EuroStoxx 50 a enrichi de 0,64% et tout comme le Stoxx 600, le FTSEurofirst 300 a progressé de 0,58 %.
Les bourses européennes sont en hausse
L’espérance d’une vigoureuse reprise économique a encore des indices. Mais la peur dont sa force oblige les banques centrales à diminuer. Précocement, leurs politiques monétaires n’ont pas encore perdu. Depuis avril, l’indice PMI de l’action manufacturière dans l’économie européenne n’a pas changé la situation. En effet, l’indice manufacturier de la zone euro a pris un degré record. A cause des contraintes sur la proposition associée à la crise sanitaire, les commandes non réalisées ont augmenté. En revanche, les secteurs technologiques de Worldline (-1,60 % ) et STMicroelectronics (-1,48 %) ont fortement baissé, tandis que le secteur technologique (+ 0,08%). Comparées à la tendance, les technologies DBV ont révélé 5,57 %, la plus forte diminution du vaste indice de SBF de Paris 120. Ainsi, réduisant son conseil sur le titre de Portzamparc, qui concerne le coût du plan de réorganisation actuel. Par contre, Genfit a monté jusqu’à 3,14 % après l’annonce du lancement d’un autre test diagnostic de la NASH par son co-équipier Labcorp en Amérique du Sud.
À Madrid, Banco Sabadell a grimpé de 4,47 % qui est également parmi les plus grandes hausses du Stoxx 600. D’après les optimistes discours de son DG, qui trouve les produits nets des gains montés particulièrement à cause de la facilité de financement proposé par la BCE (Banque centrale européenne). Encore à la hausse, Lufthansa a reçu 2,63 % par la suite de rappel de son propriétaire.
L’orientation des indices de Wall Street
À la clôture des marchés boursiers européens, l’indice Dow Jones a progressé de 0,8 %. L’indice S&P 500 a légèrement augmenté et l’indice NASDAQ a modestement baissé. Le ralentissement de l’activité manufacturière aux États-Unis en avril a eu peu de conséquences sur la tendance. L’ISM manufacturier est tombé à 60,7 % en mars, et a grimpé à 64,7 %, c’est en effet son record du niveau le plus élevé à partir de décembre 1983. La vaccination de chaque Américain majeur ainsi que le soutien budgétaire à grande échelle ont conduit à une augmentation de la demande, et l’entreprise travaille dur pour répondre à cette demande.
L’indice ISM manufacturier recule par contre, et fournit un pesage sur le dollar. Bien que les données manufacturières aient peu d’effets sur les opérations, en revanche, elles ont provoqué la diminution des rendements. Beaucoup orienté à l’élévation, son similaire Allemand a adopté le mouvement afin de finir un point de base environ de -0,20 %. Le dollar a également été touché, intensifiant sa tendance à la baisse, chutant de 0,4 % par rapport au panier de devises de référence. Cela pourra permettre à l’Euro de relever jusqu’à 1,2065. Le West Texas Intermediate ou WI reçoit 1,6 % à 64,57 dollars et le baril de Brent gagne 1,4 % à 67,69 dollars.