Cependant, les commentaires de Brooks interviennent au milieu de spéculations sur des réglementations strictes liées à la cryptographie. En particulier pour les portefeuilles auto-hébergés.

« Personne ne va interdire Bitcoin »

Dans un entrevue avec CNBC le 4 décembre, Brooks minimise les craintes d’une éventuelle interdiction générale de la cryptographie aux États-Unis.

En effet, selon le contrôleur de la monnaie par intérim, les régulateurs ne promulgueront pas davantage de réglementations. Par contre, ils en créeront un environnement propice à l’épanouissement de la technologie.

Clarté juridique et conformité AML robuste

En réalité, pour Brooks, la préoccupation des régulateurs devrait porter sur la clarté juridique des cryptos.  Aussi, sur le strict respect des normes anti-blanchiment d’argent (AML).

Cependant, l’OCC a déjà approuvé certaines banques à charte fédérale pour assurer la garde de Bitcoin et d’autres crypto-monnaies. Selon Brooks, cette décision est révélatrice du type de clarté requis par l’industrie dans son ensemble.

En outre, le chef de l’OCC a fait remarquer qu’une plus grande clarté donnerait aux investisseurs une plus grande liberté pour participer au marché. Pour Brooks, la crypto a peut-être été une bulle en 2017-2018, mais la classe d’actifs montre des signes de maturation qui devraient attirer un intérêt institutionnel important.

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