Des technologies comme la blockchain font leurs apparitions. En effet, à cette époque les prouesses technologiques des fabricants cherchent quelque chose de nouveau sur lequel s’appuyer. Ainsi, cela change rapidement la trajectoire de la façon dont les transactions de données se stockent.

Tests de laboratoire manipulés

Evidemment, certaines positions de confiance sur le lieu de travail paraissent plus critiques que d’autres, simplement parce que leur intégrité – ou son absence – pourrait avoir le potentiel de mettre en danger ou de nuire à ceux qui sont soumis à la nature sensible de leur travail.

Prenons le cas d’Annie Dookhan, la chimiste de l’État du Massachusetts qui travaillait pour le Département de la santé publique. La chimiste est devenue voyou et a abusé de sa position de confiance à un niveau sans précédent en falsification de preuves des tests de dépistage de drogues dans plus de 20 000 cas.

La blockchain crée la responsabilité grâce à des pistes d’audit

La portée des conséquences peut parfois être difficile à connaître avec certitude lorsqu’un employé voyou poursuit ses propres intérêts, en particulier aux dépens des autres. Ce sont simplement les événements qui ont réussi à se faire jour et qui n’englobent pas le domaine de l’inconnu.

BeInCrypto contacte David Koepsell, PDG d’EncrypGen, une société dédiée au développement d’un marché de l’ADN peer-to-peer basé sur la blockchain.