La Commission des valeurs mobilières de l’Ontario a affirmé qu’Aux Case Fintech Co. Ltd., une entité juridique de la République des Seychelles qui exploite l’échange cryptographique OKEx, ne s’était pas conformée à la loi de la province régissant les valeurs mobilières.
Une firme seychelloise ciblée par les régulateurs Ontariens
La Commission des valeurs mobilières de l’Ontario (CVMO) a garanti qu’Aux Cayes FinTech Company Limited, une entité juridique de la République des Seychelles qui tient le commerce de cryptographie OKEx, a négligé de suivre la loi de la région introduisant les protections.
CVMO a confirmé qu’Aux Cayes pourrait faire face à des activités administratives pourrait avoir été occupée par un comportement criminel au cas où elle oublierait d’aider les spécialistes.
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Les éléments de ressources cryptographiques proposés par OKEx sont scrutés comme des protections et des filiales, et soumis à la loi sur les protections de l’Ontario comme indiqué par la CVMO. Le contrôleur assure qu’Aux Cayes a omis de consentir à l’enrôlement du district et de définir les besoins.
En juin, la CVMO avait déjà exigé des documents
En mars, la CVMO a averti toutes les plateformes de négociation d’actifs cryptographiques opérant dans la province qu’elles ont l’obligation d’être en conformité avec la loi sur les valeurs mobilières d’ici le 19 avril ou d’affronter des mesures réglementaires. Alors que l’équipe d’application de l’autorité de réglementation ait déclaré qu’Aux Cayes avait répondu à des demandes de renseignements limitées en juin, la plateforme n’a pas fourni d’informations de base sur ses clients ontariens, mais aussi les avoirs agrégés et le nombre de comptes. Anciennement, OKEx avait envoyé un avis aux utilisateurs de l’Ontario et du Québec, affirmant qu’ils n’accéderaient à aucun des services de la plateforme.
Le bureau a réservé une réunion pour le 15 septembre afin d’aborder les accusations. La commission a porté des accusations comparatives contre Bybit, le commerce de crypto KuCoin et Polo Digital Assets, l’organisation mère de Poloniex. L’OSC affirme que les étapes ont omis de contacter le contrôleur des protections avant l’heure limite du 19 avril et enfreignaient la loi sur les protections.
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D’un autre côté, en juin, le premier commerce de crypto Binance a annoncé qu’il arrêterait de proposer des types d’assistance aux clients en Ontario. Binance, qui exploite les plus grandes filiales de devises numériques en termes de volume de carrières professionnelles, a aussi été victime de l’assaut des contrôleurs et a dernièrement stoppé les contributions et les articles subordonnés à tous les clients des Pays-Bas, d’Allemagne, d’Italie et de Hong Kong, de même que les clients de détail du Royaume-Uni.