Ce jeudi 5 août, le président américain Joe Biden a paraphé un décret visant à ce que la moitié des voitures vendues aux États-Unis en 2030 n’émettent aucune pollution et de nouvelles réglementations sur les émissions de dioxyde de carbone ont été proposées pour réduire l’impact environnemental de l’industrie de l’automobile d’ici 2026.
Une mesure soutenue par les grands constructeurs.
Le locataire démocrate de la Maison Blanche, par cette mesure n’est pas juridiquement contraignant et en plus bénéficient de l’appui des grands constructeurs dans l’industrie de l’automobile américains et de l’étranger, mais ils ont averti que le dispositif nécessiterait des milliards de dollars d’aide de la part du gouvernement.
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Après que le décret est était ratifier, le président Joe Biden est monté au volant d’une jeep électrique. Il a conduit rapidement la jeep électrique dans le jardin de la Maison Blanche, klaxonnant de temps en temps pour annoncer son arrivée.
Le président Joe Biden à déclaré que :
« Pour débloquer notre plein potentiel, nous devons continuer d’investir dans nos travailleurs et nos industriels »
General Motors (NYSE:GM), Ford (NYSE:F) et Stellantis ont annoncé dans un communiqué commun qu’ils aspiraient à :
« Réaliser des ventes avec des volumes annuels de 40% à 50% de véhicules électriques aux Etats-Unis (…) d’ici 2030 ».
Reuters a rendu compte des intentions de la Maison Blanche à ce sujet la semaine dernière.
Les Etats-Unis prennent une pente douce par rapport à la trajectoire des Européens.
« L’avenir de l’industrie automobile est électrique. Il n’y a pas de retour en arrière. »
Ces mots du président américain Joe Biden annoncent la signature du décret qui fixe l’objectif de vente des constructeur automobile à 50 % de voitures neuves pouvant fonctionner à l’électricité d’ici 2030.
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Bien que Joe Biden n’ait pas répondu aux appels de nombre de ses confrères démocrates à prendre des mesures contraignantes sur les ventes de véhicules électriques, cette directive fédérale fixe le cap, mais n’a aucune force juridique contraignante pour les constructeurs.
Les États-Unis sont donc beaucoup moins ambitieux que l’Union européenne dans l’électrisation du marché automobile, l’objectif de l’Union européenne étant d’arrêter les nouveaux véhicules thermiques d’ici 2035.
Néanmoins, il s’agit d’une déclaration politique marquante de la part du nouveau président, qui a immédiatement annoncé qu’il se fixait un nouvel objectif de réduction de la consommation automobile d’ici 2026.
Ces deux agences environnementales fédérales fixeront des objectifs plus durs que ceux fixés pendant la présidence de Donald Trump. Ce dernier a baissé les ambitions mise en place par Barack Obama dans ce domaine.
L’administration Biden espère réduire les émissions de gaz à effet de serre des voitures particulières neuves de prés de 60 % d’ici l’année 2030 cette mesure est par rapport aux niveaux de 2020.