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Le Japon enlèvera le filtrage de jetons pour les échanges cryptographiques locaux.

Selon la politique actuelle, un processus de sélection de plusieurs mois est soumis aux bourses avant une cotation de jetons. En revanche, ils n’auront peut-être plus besoin de filtrer les jetons numériques avant de les lister après que le gouvernement ait exprimé son mécontentement à l’égard du système actuel.

Le Japon facilitera le processus de sélection pour les jetons.

Le JVCEA, abandonnera sa position actuelle pour se concentrer sur le processus d’enregistrement. Au lieu de cela, il supervisera l’industrie en « surveillant les actifs après leur inscription ».

Pour les échanges membres, ils peuvent avoir besoin de les retirer de la liste en cas de problème de jetons. De plus, malgré l’élimination du processus de filtrage, les bourses sont tenues par la loi de signaler toute transaction proposée aux régulateurs. Les sources ont également déclaré que les nouvelles mesures ne s’appliqueraient pas aux ICO offres initiales de pièces de monnaie. Ainsi, une décision finale devrait être prise d’ici la fin de l’année.

La politique nouvellement modifiée interviendrait après que le gouvernement du Premier ministre Fumio Kishida ait critiqué le processus de filtrage existant. Il estime que cela empêchait les entreprises de cryptographie locales de prospérer en raison de politiques inefficaces. Cependant, il a déclaré que l’association doit respecter le principe de protection des utilisateurs.

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En début 2022, la JVCEA a annoncé une nouvelle politique. Il permettrait aux bourses membres d’ajouter une gamme de crypto-monnaies « sur liste blanche » sans filtrage obligatoire. Avant cela, le processus d’enregistrement pouvait prendre six mois ou plus, une phase chronophage que les sociétés de cryptographie voient comme un frein à l’industrie.

Vers la voie de réglementation sur les Stablecoins

À la suite du crash de Terra, le Parlement japonais aurait adopté une législation sur les stablecoins. Cela en exigeant que ces actifs soient rattachés à la monnaie nationale du pays (le yen) ou à une autre monnaie légale pour être classés comme tels.

Cette décision a été considérée comme une réponse au désastre du stablecoin algorithmique mal géré Terra, qui n’a aucun actif sous-jacent en réserve lié aux monnaies fiduciaires. Les autorités japonaises pensent qu’une telle décision pourrait améliorer la protection des utilisateurs.

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