Le protocole Ordinals permettant l’enregistrement de données sous forme de jetons uniques non échangeables, appelés « non fongibles tokens » (NFTs) sur la blockchain Bitcoin (BTC), suscite un intérêt croissant. Ce système a enregistré un nouveau record hier, avec plus de 2,7 millions de NFTs créés. Cela indique un fort potentiel de développement pour ce secteur de l’écosystème.
Sommaires
Ordinals sur Bitcoin : un engouement qui ne faiblit pas
Ces derniers mois, l’enregistrement de données sous forme de « non fongibles tokens » (NFTs) sur la blockchain Bitcoin, grâce au protocole Ordinals, connaissent une croissance fulgurante. Cette innovation pourrait être une petite révolution. Pour témoigner de cet engouement, un nouveau record a été établi hier, avec plus de 300 000 inscriptions en une journée. À ce jour, plus de 2,7 millions d’inscriptions ont été effectuées via le protocole Ordinals, un chiffre particulièrement impressionnant étant donné que ce dernier n’a été introduit que depuis cinq mois. Il semble que la tendance se maintienne.
Les Ordinals de Bitcoin : une évolution incontournable pour l’avenir des tokens non fongibles ?
Il semble que la tendance se dessine, bien qu’il soit encore trop tôt pour en être certain. Néanmoins, plusieurs poids lourds du secteur manifestent un intérêt marqué pour les Ordinals, notamment Yuga Labs, une entreprise hégémonique qui possède des franchises importantes telles que le Bored Ape Yacht Club et les Cyberpunks. Malgré son hostilité initiale, Yuga Labs a récemment lancé une collection d’Ordinals. Cette dernière a connu un succès indéniable, avec des pièces d’art numérique vendues en seulement 24 heures pour un montant total de 16,5 millions de dollars.
Un autre signe de cette évolution est la décision prise le mois dernier par la place de marché de « non fongibles tokens » Magic Eden de prendre en compte les Ordinals, au même titre que les NFTs « classiques ». Qu’on adhère ou qu’on rejette cette technologie, une chose est certaine : la petite révolution représentée par les Ordinals ne laisse pas l’écosystème indifférent.
