La Supergrappe océanique du Canada atlantique a engagé près de 12 millions de dollars dans un projet axé sur la fourniture d’analyses en temps réel pour l’industrie de l’aquaculture.
Le projet vaut près de 27 millions de dollars, dont 14,8 millions de dollars provenant de contributions de contrepartie de l’industrie. Le projet des opérations intégrées et de l’analyse en temps réel est dirigé à partir de Terre-Neuve-et-Labrador et de la Nouvelle-Écosse et vise à combler les écarts entre les opérations terrestres, maritimes et de transformation qui existent dans l’industrie de l’aquaculture. Le projet devrait fournir des informations en temps réel, des analyses et une connectivité environnementale pour améliorer les opérations globales.
«C’est un véritable changement de jeu pour l’industrie de l’aquaculture et pour la région.»
Le projet est dirigé par Grieg Seafood Newfoundland. Les partenaires incluent également Innovasea, SubC Imaging, AKVA Group et High-Tech Communications.
«C’est un véritable changement de jeu pour l’industrie de l’aquaculture et pour la région, et nous sommes ravis de voir non seulement les avantages transformateurs que cela apporte aux opérations, mais aussi d’un point de vue environnemental, sécuritaire et économique», a déclaré Kendra MacDonald, PDG de la supergrappe océanique. «Cette année a été difficile pour les secteurs océaniques, mais le projet d’aujourd’hui et les près de 50 autres que nous avons approuvés à ce jour montrent l’incroyable opportunité dans l’océan pour la reprise économique et une croissance durable à long terme.»
Le projet devrait créer 138 nouveaux emplois, dont 20 lors de sa mise en œuvre.
Le financement du projet d’opérations intégrées et d’analyse en temps réel est le dernier engagement de l’Ocean Superlcuster, qui a reçu un engagement de 153 millions de dollars du gouvernement fédéral dans le but de créer plus de 3000 emplois et de contribuer plus de 14 milliards de dollars à l’économie canadienne sur 10 période de l’année.
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La supergrappe océanique aurait dépensé 90 millions de dollars sur son budget fédéral total de 153 millions de dollars. Un rapport annuel 2019-2020 a noté qu’au moment de la publication, la Supergrappe avait engagé 52,6 millions de dollars, dont 60 millions de dollars en valeur totale du projet en contrats, avec des plans d’annoncer dans les mois à venir. Selon MacDonald, la Supergrappe a approuvé près de 50 projets à ce jour.
L’augmentation des dépenses de la supergrappe du Canada atlantique au cours de la dernière année correspond à celle des autres supergrappes qui font partie de l’initiative du gouvernement fédéral. À la suite d’un rapport d’octobre du directeur parlementaire du budget, qui a révélé que de nombreuses supergrappes étaient loin de leurs objectifs de dépenses en mars 2020, chacune des organisations a intensifié ses efforts de dépenses.
L’ancien ministre de l’Innovation Navdeep Bains a déclaré à BetaKit qu’en octobre 2020, l’initiative globale avait approuvé plus de 220 projets liés aux petites et moyennes entreprises canadiennes et engagé plus de 800 millions de dollars d’investissement, la majorité (420 millions de dollars) provenant de partenaires de l’industrie. .
Certaines des supergrappes sont maintenant sur le point d’épuiser leur financement fédéral, la supergrappe NGen ayant près des deux tiers de son budget de 230 millions de dollars engagés et la supergrappe de la technologie numérique à moins de deux mois d’engager pleinement son budget de 153 millions de dollars. NGen et la technologie numérique sont deux des trois supergrappes, qui comprennent également la supergrappe des protéines, qui font pression sur le gouvernement fédéral pour obtenir plus de capitaux.
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